samedi 30 juin 2012

Pohadka, Ys-Uzac

J'ai du bon tabac...


Un ancien violoncelliste qui se lance dans la parfumerie avec un hommage à Janacek et au quatuor de Dutilleux? Ca m'intéresse.
Pohadka évoque sans doute autant la nature que le fait la pièce tchèque. 

Claude Monet - Meules, milieu du jour

Une nature sèche, incarnée par des notes de tabac et de foin d'un réalisme saisissant, renforcées par l'immortelle. Pohadka parle d'été. Mais pas de boissons estivales avec des eaux citronnées chyprées ni les produits pour la plage aux fleurs blanches vanillées, l'été brûlant. Il rappelle Zino de Davidoff, ou encore Sables d'Annick Goutal, la vanille et surtout la puissance en moins.Pohadka est tout simplement incroyablement addictif, comme une cigarette après une sieste dans une vieille grange, à l'ombre d'un soleil ravageur. 


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